Après avoir tenté en vain de caresser les personnels de l’Éducation Nationale dans le sens du poil durant la campagne, le président-candidat a une fois de plus dévoilé son vrai visage et son profond mépris pour le Service Public d’Éducation et ses personnels. A quelques jours du 1er tour de l'élection présidentielle, il rappelle à chacun.e d'entre nous que son quinquennat n'a été que régressions et destructions dans le monde de l’Éducation (loi de Transformation de la Fonction Publique qui met fin au paritarisme et à la transparence et ouvre la porte à la privatisation de l’École avec notamment la généralisation du recours aux contractuel·les, loi Blanquer, contre-réformes du Bac, du lycée, de la voie pro, de Parcoursup, suppression des maths au lycée...). Pour l’École, le projet d'Emmanuel Macron ne vaut pas mieux que celui, destructeur, des candidat.es d'extrême droite.