Lors de la 1ere conférence nationale des territoires organisée au Sénat le 17 juillet dernier, le président de la République a déclaré que les « territoires les plus ruraux ne peuvent plus être la variable d’ajustement d’économies » et a annoncé qu’ « il n’y aura plus de fermetures de classes en écoles primaire ». Mais les mesures détaillées par le ministre de l’Education ne vont pas dans ce sens. L’amplification des conventions rurales est toujours d’actualité et les leviers d’action mobilisés dans ces projets laissent planer le doute sur les propos de non fermeture de classes.