Alors qu’une dizaine d’enseignants-es manifestaient devant le rectorat de Toulouse le mardi 19 mars au matin, et sous prétexte qu’ils/elles empêchaient un camionnette d’acheminer les sujets d’un concours national, ils/elles ont subi des violences policières disproportionnées et honteuses en réponse à leur pacifisme, moins d’une minute après le premier et unique ordre de sommation.