En situation de fortes chaleurs ou de canicule, le Code du travail ne précise pas de limite de température au-delà de laquelle on pourrait s’estimer autorisé à arrêter le travail. Mais pour l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité), la chaleur peut constituer un risque pour les salariés au-delà de 30 degrés pour une activité sédentaire et 28 degrés pour un travail nécessitant une activité physique. L’Institut ajoute que le travail au-dessus de 33 degrés présente des dangers.